Plus rien n'écrire au stylo, et qui a encore la force des ratures, même si ma main, à force de manier sa verge et son gland, me supplie de reprendre une activité lente, rythme doux dans l’inspiration ciblée. Un crayon, un bic, un pinceau, elle a besoin de matière, une surface plane, peut-être même mes genoux, seulement. Ma main ne se pose plus ailleurs que sur sa peau chaude, et comme si elle s’était dé-sensibilisée au monde, retrouvant sa nature entre sa clavicule et le pli de son coude.